Le mystère du vieux moulin - Franklin W. Dixon
Le secret de Whilhelm Storitz - Jules Verne
Michel Strogoff - Jules Verne
Les exploits de Nick Carter - ?
Pour que la neige reste blanche - Antoine Reboul
Nick Jordan voit rouge - André Fernez
Les confidences d'Arsène Lupin - Maurice Leblanc
Les mémoires de Sherlock Holmes - Sir Arthur Conan Doyle
Les premiers hommes dans la lune - Herbert George Wells
Le Monde Perdu - Sir Arthur Conan Doyle
Le Noël d'Hercule Poirot - Agatha Christie
Le jour le plus long - Cornelius Ryan
Mythologie grecque et romaine - Commelin
Le jardin fantastique (Les Pionniers de l'Espérance, par Poïvet et Lécureux)
Astérix chez les Goths (par Uderzo et Goscinny)
Fort Navajo, Tonnerre à l'Ouest, et les autres... (Blueberry, par Gir et Charlier)
A la poursuite du Soleil (Marc Dacier, par Paape et Charlier)
Buck Danny contre Lady X (Buck Danny, par Hubinon et Charlier)
La pluie était sèche (Michel et Thierry, par Piroton et Jadoul)
Pour l'honneur des cocardes (Tanguy et Laverdure, par Uderzo et Charlier)
Le fils de Barbe-Rouge (Barbe-Rouge, té ! par Hubinon et Charlier)
Le secret de l'Espadon et La Marque Jaune (Blake et Mortimer, par Edgar P. Jacobs)
Le nid des Marsupilamis (Spirou et Fantasio, par Franquin)
Le défilé des Appalaches (Davy Crockett, par... ? )
Mon enfance s'est terminée et je suis entré dans l'adolescence quand j'ai lu mon premier roman de science-fiction, Les Seigneurs des sphères - Daniel F. Galouye et ma première autobiographie, Yes I Can - Sammy Davis Junior
Mon adolescence s'est terminée quand j'ai lu L'île de Robert Merle.
Je suis curieux de savoir quel livre terminera ma vie. J'espère que j'aurai le temps de le finir.
Marc's Twin
Et même si tu ne l'auras pas terminé, tu l'auras du moins commencé. Le final, ça, t'auras toujours le temps de l'inventer. J'en suis sûre. Et ça sera bien plus amusant (: Bonne journée!
RépondreSupprimerScarabeo
Bonjour Marc,
RépondreSupprimeret merci pour ce texte. En dehors de "Tanguy et Laverdure" et des Astérix, enfant je n'ai lu presque aucun des titres cités ci-dessus ; mais je les connais.
votre texte cite les aventures de Blake et Mortimer. En cela, il fait écho au beau texte de Sam publié vers la mi août. Je pense qu'il existe un lien entre ces deux textes.
Par ailleurs, à la fin du tome 3 de "la trilogie Twain" vous évoquez l'Ombre Jaune, "Blueberry" et les "mythologies qui ont aidé les garçons des années 50 à grandir".
A vous qui vous intéressez aux question de genre et d'identité sexuelle, en quoi les récits d'aventure de Blake et Mortimer (peut-être aussi certains livres de cette liste)ont-ils aidé les "garçons des années 50 à grandir" ? En quoi vous ont-ils aidé à vous construire ? Aident-ils encore les garçons des années 2010 à se construire et comment ?
S.
c'est amusant que les livres sont chez vous des periodes de transition - enfance adolescence - adolescence monde adulte.
RépondreSupprimerles livres que vous ecrivez aussi sont de ceux-la ?
@S. : Je pense que les histoires aident (aussi bien les garçons que les filles) à grandir en leur proposant des scénarios, des possibles, des "destins virtuels" ainsi que la palette des émotions qui y sont associées par les auteurs. Lire, c'est vivre par intérim, donc, apprendre à vivre et à ressentir sinon, comment expliquer que des écrivains aient autant d'influence et aussi durable sur nous ? Et c'est aussi pour ça qu'il y a des livres pour tous les âges - et tous les degrés de maturité. C'est en pensant à ça que j'ai appris à ne plus me moquer des "Harlequin". Je pense que les femmes qui lisent des romans d'amour y cherchent plus des "possibles" émotionnels que de "l'évasion" - et à mes yeux, c'est très différent. Mais pour en revenir aux BD : j'ai appris ce qu'était le mal et l'amitié, le courage et la peur, le partage et le pouvoir dans Blake et Mortimer et Bob Morane et l'Ombre Jaune. Quant à Blueberry, c'est une tête brûlée venu du Sud, anti-esclavagiste, rebelle à l'autorité, et pro-indien. Un progressiste avant l'heure... Un modèle !
RépondreSupprimer@Ananim : Certains de mes romans sont des romans de transition, oui, certainement : Il me semble que "Le Choeur des femmes" achève et commence quelque chose, tandis que "Les Invisibles" est un roman de "transition" de Tourmens à MOntréal. Chaque roman est une étape, dans une certaine mesure. De toute manière, quand on finit un roman, on n'est jamais tout à fait la même personne : il nous a fait avancer à mesure qu'on l'écrivait.