lundi 13 juillet 2015

Questionnaire pour écrivant.e.s, contribution n°10 - bonnie parcoeur 41 ans (et demi)

41 ans (et demi).

As-tu déjà publié des textes (publié : donné des textes à lire à des inconnus via un éditeur, une revue, un site, un blog) ?
Un blog personnel tenu sur la période 2009-2011, quelques textes et chroniques épars, un job de rédactrice sur la période 2000-2002 que je faisais avec suffisamment de cœur pour qu’on y trouve une patte personnelle.

Les as-tu publiés sous ton nom ou sous pseudo ? (Il n'est pas obligatoire de les donner). 
La plupart du temps, sous pseudo : bonnie parcoeur

Si tu portes un pseudo peux-tu dire pourquoi et ce qu’il représente pour toi ?
Je cherchais initialement un nom pour mon blog, et c’est une amie qui l’a trouvé. Je n’étais pas forcément convaincue, mais avec le temps, il s’est finalement imposé à moi, parce qu’il est raccord avec mon côté frondeur et tempétueux. Plus qu’un pseudo, c’est devenu un avatar.

Combien de textes as-tu publié ? (préciser : poésie, nouvelles, récits, articles, textes scientifiques, romans, etc. Ne donne pas le titre,  seulement le nombre approximatif.)
Une quarantaine de textes divers, et une nouvelle.

Quel genre de textes as-tu écrit sans jamais vouloir les faire lire ?
Des textes écrits suite à des ruptures amoureuses, parce qu’en pleine souffrance de cœur, on est souvent terriblement niais et premier degré. Même moi, j’ai du mal à les relire. Je les trouve vraiment mauvais. J’ai moins de pudeur sur les corps que sur les cœurs.

Quel genre de texte aimerais-tu écrire et publier ?
Un roman.

Si tu n’as jamais publié, peux-tu expliquer pourquoi ?
J’ai un tempérament perfectionniste, et une écriture qui se déploie comme de la broderie au petit point. Je peux passer beaucoup de temps sur une phrase, un mot, une virgule. Et je ne tiens pas la longueur avec un tel rapport obsessionnel aux mots. C’est presque pathologique.

Quand as-tu commencé à écrire ? A quel âge ?
J’ai écrit des poèmes quand j’avais 10 ans, et très vite, je me suis rendue compte de l’attention que je suscitais via ces textes. Notamment auprès de mes professeurs, ensuite par l’impact de certains textes auprès d’inconnus liés à l’écriture, à l’édition, et aux médias.

Y a-t-il eu une raison précise, un facteur déclenchant ?
Plutôt une aisance et une facilité avec la langue ; je me souviens qu’à 3 ans, on me faisait réciter l’alphabet, ou de cette professeur de collège qui louait mon don pour la ponctuation. Après, j’ai compris que ce « don » me rendait « remarquable » au sens premier du terme. 

Qu’est-ce que tu écrivais au tout début ?
Des poèmes donc, à 10 ans. J’ai gardé le cahier. Une vieille dame me surnommait à l’époque Minou Drouet. Puis, beaucoup de lettres d’amour, très travaillées, que je considérais comme un exercice littéraire car je savais que leur destinataire les apprécierait en tant que tel.

Sur quoi écrivais-tu ? (Ta main, un cahier, du papier libre, un ordinateur… ?)
Dès que j’ai pu, sur ordinateur. Je joue beaucoup avec les mots et les associations d’idées, donc la possibilité de revenir en arrière, d’effacer, de reprendre est ma bénédiction et ma damnation, car j’ai aussi l’impression de ne pas savoir écrire sur la longueur. 

Est-ce que tu lisais beaucoup à cette époque ? Et quel genre de livres ?
Je lisais beaucoup dans ma jeunesse, j’admirais les auteurs anglo-saxons parce que, comme en matière de musique d’ailleurs, j’y retrouve une énergie, une ironie et un cool qui me plaisent et dont j’aimerais me rapprocher, sur la page et dans la vie. Et puis, Kundera, tout Kundera.

Qu’est-ce que le fait d’écrire t’apportait à l’époque ?
J’aimais l’attention que je suscitais, qu’on me dise que j’écrivais bien, que j’avais un style très personnel. Mes parents sont immigrés et ont arrêté l’école à 10 ans, la capacité à maîtriser les idées par les mots m’apportait une reconnaissance donc, mais aussi une revanche de classe.

Est-ce que tu faisais lire ce que tu écrivais à tes proches ?
A mes amis, oui. Ma famille, non.

Si oui, comment est-ce que c’était perçu par ton entourage ?
Mes amis ont toujours été très encourageants, très enthousiastes à ce sujet. Je pense que j’en ai épuisé plus d’un, avec mes insécurités quant à ma capacité à produire un manuscrit, un produit achevé. Un roman, quoi.

Quel est le premier texte que tu aies considéré comme « achevé » ? (Ou dont tu te sois senti fier) ?
La nouvelle écrite à mes 28 ans. Même si elle est très personnelle, donc souvent maladroite, elle a le mérite de la longueur, justement.

A l’époque où tu as commencé à écrire, qu’est-ce que c’était pour toi, un « écrivain » ?
Un être inaccessible et parisien, très étrangement (cf mes lectures anglo-saxonnes), introduit dans une élite germanopratine, capable d’écrire sur la longueur sans jamais douter, sans se retourner. Un être élégant qui vit dans un autre espace-temps, dans le monde des idées.

T’es-tu jamais mis(e) à penser qu’écrire pouvait devenir ton métier ? Si oui, quand et pourquoi ? Si non, pourquoi ?
J’ai eu une vocation de journaliste bridée par des parents inquiets. J’ai été rédactrice web, puis intégré un média qui m’a permis de rester proche du contenu. Du moins, j’en avais l’illusion, avant mon burn-out. Je réfléchis actuellement à refaire de l’écriture un métier.

Aujourd’hui, quel genre de texte écris-tu ?
J’écris beaucoup de billets d’humeur et de traits d’esprit sur facebook, qui ont souvent un excellent accueil. On me réclame souvent ce genre d’exercice sur la longueur, dans un cadre plus ou moins romanesque. J’écris parfois des chroniques.

Quel genre de livres lis-tu ?
Des romans contemporains, des biographies. Le burn-out a fortement entamé ma capacité de concentration, le premier livre que j’ai réussi à terminer pendant ma convalescence, c’était de l’ordre du miracle. 

As-tu écrit aujourd'hui ? Si oui, décris ce que tu as écrit. Si non, depuis quand n'as-tu pas écrit et pourquoi ?
J’ai écrit sur un site dédié, dailypage. C’est une façon de désacraliser l’écriture, la délester d’un enjeu trop lourd pour mes épaules. C’est de l’écriture automatique. Je reçois un mail avec le thème du jour, je vais sur le site et j’écris ce qui me passe par la tête, sans chercher. 

Depuis que tu écris, quel genre de texte (ou d’activité d’écriture) t’a apporté le plus de satisfaction, de plaisir, de fierté ?
Etre capable de séduire un homme via une lettre ou même un texte qui ne lui était pas spécialement destiné — ce qui est arrivé plusieurs fois dans ma vie, à des âges divers — est une sensation assez unique. Séduction personnelle, ou même professionnelle, d’ailleurs.

Depuis que tu écris, quelles ont été les principales frustrations que t’ont valu l’écriture ? 
Etre infichue d’écrire sur la longueur et de structurer une histoire, avant tout. Aussi, la peur de blesser mes proches, qui ne sont pas forcément sensibles aux ambitions artistiques. Avoir dépassé les 40 ans sans réussir à écrire un roman ou un récit.

Ajoute une question à ce questionnaire et insère-la, avec ta réponse, là où tu en as envie.

Dans quel contexte écris-tu le mieux ? Et au contraire, dans quel contexte souffres-tu en écrivant ?
J’arrive à une forme d’état de grâce, quand je produis un texte avec un but clair, et dont je sais qu’il sera lu. C’est peut-être pour ça que mes lettres, ou plus modestement, mes publications facebook rencontrent un public. Je souffre horriblement quand j’écris sans savoir où je vais.

As-tu un site/blog où l’on peut te lire ou, à défaut, trouver les titres de tes textes publiés ? Si oui, veux-tu donner son nom et indiquer par quel texte tu aimerais qu’un visiteur qui ne te connaît pas lise avant tout autre ? Si tu préfères rester anonyme, merci d'avoir partagé.
Mon ancien blog (c’était à la grande époque des blogs de fille, je me cachais derrière cette légèreté-là), toujours en ligne : http://bonnieparcoeur.com/
Ce texte-ci a beaucoup plu :
http://bonnieparcoeur.com/2009/07/26/but-seriously/

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Questionnaire pour écrivant.e.s - Contribution n°9 - Adrienne, âge non précisé

L’âge adulte et les rides qui l’accompagnent.

As-tu déjà publié des textes (publié : donné des textes à lire à des inconnus via un éditeur, une revue, un site, un blog) ?
J’ai un blog où je publie beaucoup de mes textes et il m’arrive d’en envoyer sur d’autres blogs qui offrent des jeux d’écriture. Le vôtre, il fut un temps. 
Les as-tu publiés sous ton nom ou sous pseudo ? (Il n'est pas obligatoire de les donner). 
Je ne publie que sous pseudo.

Si tu portes un pseudo peux-tu dire pourquoi et ce qu’il représente pour toi ?
Je me cache derrière (j’ai la naïveté de croire que c’est une garantie d’anonymat) et en même temps, c’est un hommage à ma grand-mère maternelle, puisque c’est son prénom que j’ai choisi.

Combien de textes as-tu publié ? (préciser : poésie, nouvelles, récits, articles, romans, etc. Ne donne pas le titre,  seulement le nombre approximatif.)
Sur mon blog j’ai environ 2500 billets, beaucoup sont des petits faits quotidiens mais une grosse part est un mélange de fiction et de vécu. Plus quelques parodies ou pastiches de poèmes connus.

Quel genre de textes as-tu écrit sans jamais vouloir les faire lire ?
Les plus intimes, les plus sombres, les érotiques… Je m’autocensure terriblement ;-)

Quel genre de texte aimerais-tu écrire et publier ?
Des nouvelles, un peu noires et/ou humoristiques ; les tribulations d’un demandeur d’asile ghanéen ; une enfance des années 1960-1970 dans une petite ville de province ; des romans à l’eau de rose ; etc.

Si tu n’as jamais publié, peux-tu expliquer pourquoi ?
Je suppose que c’est la peur, d’une part, et le « à quoi bon » d’autre part.

Quand as-tu commencé à écrire ? A quel âge ?
Vers mes dix ans, ça s’est intensifié à partir de douze

Y a-t-il eu une raison précise, un facteur déclenchant ?
Je voulais écrire la suite des histoires que le lisais à l’époque : Enid Blyton (le club des cinq) et la comtesse de Ségur. Mon frère me demandait aussi de lui inventer des histoires « qui font peur ». J’inventais jusqu’à ce que, terrifié, il appelle les parents pour que j’arrête et le lendemain il m’en redemandait ;-)

Qu’est-ce que tu écrivais au tout début ?
Les « aventures » d’un petit groupe d’amis (genre club des cinq) et la suite de certains volumes de la comtesse de Ségur (par exemple Les vacances)

Sur quoi écrivais-tu ? (Ta main, un cahier, du papier libre, un ordinateur… ?)
Je me fabriquais mes cahiers, je récupérais les pages blanches de cahiers usagés, je les cousais pour former un (presque) vrai cahier.

Est-ce que tu lisais beaucoup à cette époque ? Et quel genre de livres ?
J’ai lu tout ce qu’il y avait dans la section enfantine de la bibliothèque communale, tous les héros et héroïnes de la Bibliothèque Verte ou de la collection Rouge et Or. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Rouge_et_Or_(collection))

Qu’est-ce que le fait d’écrire t’apportait à l’époque ?
Evasion, je pense. Ça répondait à un réel besoin.

Est-ce que tu faisais lire ce que tu écrivais à tes proches ?
C’était ma « vie cachée », mes parents croyaient que je travaillais pour l’école ;-)
Chaque été, je tenais aussi un « journal de vacances », un jour mon père l’a lu, ça m’a fort choquée. Un peu flattée, en même temps, qu’il s’intéresse à ce que j’écrivais.

Si oui, comment est-ce que c’était perçu par ton entourage ?
Pour le « journal de vacances », ça faisait plaisir à mon père que je le tienne.

Quel est le premier texte que tu aies considéré comme « achevé » ? (Ou dont tu te sois senti fier) ?
J’avais dix ou onze ans, j’avais écrit une « rédaction » comme devoir scolaire où je mélangeais réalité et fiction, l’institutrice l’a trouvée si bonne qu’elle l’a lue pour toute la classe. Moi j’étais gênée parce que je n’y avais pas raconté « la vérité » et que c’étaient précisément les détails « inventés » - donc à mon sens « les mensonges » - qu’elle trouvait si bons.

A l’époque où tu as commencé à écrire, qu’est-ce que c’était pour toi, un « écrivain » ?
Une sorte de génie très éloigné de mon quotidien.

T’es-tu jamais mis(e) à penser qu’écrire pouvait devenir ton métier ? Si oui, quand et pourquoi ? Si non, pourquoi ?
A quinze ou seize ans, je lisais des romans roses et je me disais : c’est facile, je pourrais faire ça aussi. J’ai inventé des centaines de scénarios, au moins un par semaine, que je peaufinais le soir dans mon lit ;-)

Aujourd’hui, quel genre de texte écris-tu ?
Des textes courts et des bribes qui pourraient former une histoire plus longue.

Quel genre de livres lis-tu ? 
A peu près tous les genres, sauf les thrillers, la science-fiction et le « fantasy ».

As-tu écrit aujourd'hui ? Si oui, décris ce que tu as écrit. Si non, depuis quand n'as-tu pas écrit et pourquoi ? 
J’écris tous les jours. Des billets pour le blog, des petites notes sur un carnet-à-idées. Et dans ma tête ;-)

Depuis que tu écris, quel genre de texte (ou d’activité d’écriture) t’a apporté le plus de satisfaction, de plaisir, de fierté ?
J’aime écrire un texte à partir d’une contrainte imposée, c’est stimulant, l’idée vient toute seule, le texte coule de source. Après je relis des tas de fois, je change un mot, je fais des coupures, je fignole. Ceux que je trouve les meilleurs, je les laisse « reposer » un jour ou plus pour les relire « à froid ».

Depuis que tu écris, quelles ont été les principales frustrations que t’ont valu l’écriture ?
Quand les lecteurs de mon blog pensent que je parle de moi, alors qu’il est marqué FICTION ou quand ils trouvent qu’un passage n’est pas politiquement correct : interdit de rire des gros, des maigres, ce genre de choses.

As-tu un site/blog où l’on peut te lire ou, à défaut, trouver les titres de tes textes publiés ? Si oui, veux-tu donner son nom et indiquer par quel texte tu aimerais qu’un visiteur qui ne te connaît pas lise avant tout autre ? Si tu préfères rester anonyme, merci d'avoir partagé. 

Questionnaire pour écrivant.e.s - contribution n°8 - Alexis Z., 49 ans

Quel âge as-tu ?

49 ans.

As-tu déjà publié des textes (publié : donné des textes à lire à des inconnus via un éditeur, une revue, un site, un blog) ?

Non.

Les as-tu publiés sous ton nom ou sous pseudo ? (Il n'est pas obligatoire de les donner). 

-

Si tu portes un pseudo peux-tu dire pourquoi et ce qu’il représente pour toi ?

-

Combien de textes as-tu publié ? (préciser : poésie, nouvelles, récits, articles, textes scientifiques, romans, etc. Ne donne pas le titre,  seulement le nombre approximatif.)

-

Quel genre de textes as-tu écrit sans jamais vouloir les faire lire ?

Une pièce de théatre, des nouvelles, des poèmes et de cours textes en prose oulipiens (hétérogrammatiques, lipogrammatiques ou monovocaliques), deux romans inachevés dont un en cours.

Quel genre de texte aimerais-tu écrire et publier ?

Les mêmes, en mieux réussi, et aussi en plus nombreux pour les textes cours, nouvelles et poèmes.

Si tu n’as jamais publié, peux-tu expliquer pourquoi ?

Inachèvement ou insatisfaction face au texte fini (théatre, romans, nouvelles ), ou nombre insuffisant (une nouvelle, deux textes de deux ou quatre pages, deux ou trois poèmes, ça ne me semble pas faire un ensemble suffisant pour être publié).

Quand as-tu commencé à écrire ? A quel âge ?

26 ans.

Y a-t-il eu une raison précise, un facteur déclenchant ?

Le fait de connaître un metteur en scène de théâtre.

Qu’est-ce que tu écrivais au tout début ?

Une pièce de théâtre.

Sur quoi écrivais-tu ? (Ta main, un cahier, du papier libre, un ordinateur… ?)

Un ordinateur.

Est-ce que tu lisais beaucoup à cette époque ? Et quel genre de livres ?

Oui, surtout des romans mais aussi des essais sur l'éducation, les enfants, les traumatismes psychologiques, des textes divers comme les recueils d'articles de Perec, et les grands intellectuels qu'on appelait structuralistes.

Qu’est-ce que le fait d’écrire t’apportait à l’époque ?

L'espoir d'être publié !

Est-ce que tu faisais lire ce que tu écrivais à tes proches ?

Oui, à ma femme.

Si oui, comment est-ce que c’était perçu par ton entourage ?

Ca lui plaisait beaucoup.

Quel est le premier texte que tu aies considéré comme « achevé » ? (Ou dont tu te sois senti fier) ?

Un pastiche lipogrammatique en e d'un récit d'une réunion de négociation entre les syndicats et la direction de l'entreprise où je travaille.

A l’époque où tu as commencé à écrire, qu’est-ce que c’était pour toi, un « écrivain » ?

Un artiste du langage, un inventeur ou raconteur d'histoires.

T’es-tu jamais mis(e) à penser qu’écrire pouvait devenir ton métier ? Si oui, quand et pourquoi ? Si non, pourquoi ?

Oui à chaque fois que j'ai commencé un texte, ou que j'en ai fini un qui semblait réussi, sous l'effet de l'enthousiasme.

Aujourd’hui, quel genre de texte écris-tu ?

Un roman et de la poésie (lipogramatique en e le plus souvent).

Es-tu satisfait des genres existants ou en inventes-tu (ou souhaites-tu en inventer) d'autres ?

J'aimerais inventer une genre hybride entre le roman, le recueil de nouvelles et le recueil de poèmes, mais je ne suis pas sûr que ça puisse marcher pour le lecteur.

Quel genre de livres lis-tu ? 

Des romans surtout, des essais aussi.

As-tu écrit aujourd'hui ? Si oui, décris ce que tu as écrit. Si non, depuis quand n'as-tu pas écrit et pourquoi ? 

Je n'ai pas écrit depuis quelques jours par manque de temps parce que j'avais du travail à finir et des choses à organiser avant de partir en vacances.

Depuis que tu écris, quel genre de texte (ou d’activité d’écriture) t’a apporté le plus de satisfaction, de plaisir, de fierté ?

Les textes oulipiens (surtout les lipogrammes en e) et plus particulièrement la poésie.

Depuis que tu écris, quelles ont été les principales frustrations que t’ont valu l’écriture ?
Le manque de temps, de courage ou de talent pour finir ou pour réussir certiens textes, et en conséquence le fait de n'avoir encore rien publié.

As-tu un site/blog où l’on peut te lire ou, à défaut, trouver les titres de tes textes publiés ? Si oui, veux-tu donner son nom et indiquer par quel texte tu aimerais qu’un visiteur qui ne te connaît pas lise avant tout autre ? Si tu préfères rester anonyme, merci d'avoir partagé. 

Je n'ai encore rien à faire lire.


Alexis Z.

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