24
ans
As-tu
déjà publié des textes (publié : donné des textes à lire à des inconnus via un
éditeur, une revue, un site, un blog) ?
Sur
des forums d'atelier d'écriture, des sites et dans quelques MOOC, ensuite
quelques menus articles pour un journal en ligne. Ma première publication
papier est en cours, mais ce n'est "qu'"un manuel scolaire.
Les
as-tu publiés sous ton nom ou sous pseudo ? (Il n'est pas obligatoire de les
donner).
La
majorité sous pseudo, très peu sous mon nom.
Si
tu portes un pseudo peux-tu dire pourquoi et ce qu’il représente pour toi ?
Mon
pseudo est mon identité fictive, « fictionale », littéraire,
fantastique. En même temps, il redéfinit mes racines, c’est le surnom que me
donne toujours ma grand-mère maternelle allemande.
Combien
de textes as-tu publié ? (préciser : poésie, nouvelles, récits, articles,
textes scientifiques, romans, etc. Ne donne pas le titre, seulement le
nombre approximatif.)
Une
petite dizaine d'articles, quelques textes scientifiques, bientôt deux manuels
scolaires, quelques nouvelles aussi.
Quel
genre de textes as-tu écrit sans jamais vouloir les faire lire ?
De
la poésie, quelques nouvelles.
Quel
genre de texte aimerais-tu écrire et publier ?
Des
romans, des nouvelles, des articles scientifiques.
Si
tu n’as jamais publié, peux-tu expliquer pourquoi ?
J’ai
certes déjà publié, mais jamais de la fiction. Je n’ai jamais publié de la
fiction parce que je n’ai jamais encore réussi à écrire un roman satisfaisant.
J'ai toujours considéré que les nouvelles ne sont pas publiables... Peut-être
ai-je tort?
Quand
as-tu commencé à écrire ? A quel âge ?
Dès que j'ai su écrire, entre 6 et 7 ans.
Y
a-t-il eu une raison précise, un facteur déclenchant ?
Je n’aimais pas toujours le déroulement des
livres que je lisais/qu’on me lisait, j’avais décidé de les réécrire à mon
goût.
Qu’est-ce
que tu écrivais au tout début ?
La première histoire d’envergure fut une
réécriture du « Faucon déniché » de Jean-Côme Noguès.
J'ai ensuite écrit plusieurs histoires plus ou moins inspirées de mes lectures
de l'époque.
Sur
quoi écrivais-tu ? (Ta main, un cahier, du papier libre, un ordinateur… ?)
Des cahiers qu'on m'offrait pour
l'occasion, j'en ai toujours quelques-uns en réserve, ils ont tous un nom, une
histoire. J’ai conservé tous mes « cahiers d’écriture » même le tout
premier, trois cahiers de brouillon bleus collés ensemble.
Est-ce
que tu lisais beaucoup à cette époque ? Et quel genre de livres ?
J’ai
toujours beaucoup lu, même à l’époque où je ne savais pas lire. Déjà à
l’époque, je lisais tout ce qui me tombait sous la main - des romans surtout.
Qu’est-ce
que le fait d’écrire t’apportait à l’époque ?
Voir
les histoires que j’aime se développer et finir comme je le voulais puis
rapidement voyager/vivre des vies différentes.
Est-ce
que tu faisais lire ce que tu écrivais à tes proches ?
Avant,
je le faisais lire à ma mère et à mon parrain, professeur de français. Ensuite,
pendant longtemps à mes amis. Aujourd’hui, je fais surtout lire à ceux dont je
sais qu’ils feront une critique sincère et constructive.
Si
oui, comment est-ce que c’était perçu par ton entourage ?
On
m’a toujours poussé tout en me faisant constamment remarquer les nombreuses
fautes de grammaire et d’orthographe souvent au détriment du fond.
Comment
prends-tu les critiques, conseils et éventuelles modifications apportés par
l'entourage qui a lu ton texte ? (Anonyme, 26 ans)
Quand
les critiques sont constructives, je suis toujours preneuse, je ne me sens
jamais blessée. Parfois, je retravaille mon texte en conséquences, parfois je
ne suis pas d’accord mais cela provoque toujours une discussion intéressante,
jamais une dispute.
Quel
est le premier texte que tu aies considéré comme « achevé » ? (Ou dont tu te
sois senti fier) ?
Une
nouvelle épistolaire de science-fiction écrite pour l’anniversaire de mon
parrain. C’était l’histoire de la première colonie sur la lune.
A
l’époque où tu as commencé à écrire, qu’est-ce que c’était pour toi, un «
écrivain » ?
Quelqu’un
qui peut toujours se permettre d’écrire, partout et à tout moment.
T’es-tu
jamais mis(e) à penser qu’écrire pouvait devenir ton métier ? Si oui, quand et
pourquoi ? Si non, pourquoi ?
Oui ! Je rêvais de pouvoir écrire
toute la journée. Qu’on ait toujours essayé de m’en dissuader n’a fait que
renforcer mon désir de pouvoir un jour être un vrai « écrivain »
comme je le rêvais étant enfant.
Aujourd’hui,
quel genre de texte écris-tu ?
J’écris
un roman depuis bientôt trois ans. Mais c’est le premier auquel je me suis
attachée, jusqu’à présent, je n’ai jamais réussi à en écrire plus qu’une
nouvelle.
Quel
genre de livres lis-tu ?
Des
romans de tous les genres, de la poésie début XXe, du théâtre.
As-tu
écrit aujourd'hui ? Si oui, décris ce que tu as écrit. Si non, depuis quand
n'as-tu pas écrit et pourquoi ?
J’ai
rédigé un axe d’analyse du roman « Et rester vivant » de J-P
Blondel pour un dossier pédagogique. J’aurais préféré continuer mon roman, mais
la date butoir pour ce dossier approche et cela reste un travail plaisant.
Depuis
que tu écris, quel genre de texte (ou d’activité d’écriture) t’a apporté le
plus de satisfaction, de plaisir, de fierté ?
Les
nouvelles, les textes à contraintes. (La grammaire de l'imaginaire, de
Rodari)
Quelle
est votre contrainte préférée? (Stern, 24 ans)
L'exercice
du "Et si..." de Rodari. "Et si l'humain allait vivre sur la
lune? Et si quelqu'un vivait dans une éolienne? Et si...
Depuis
que tu écris, quelles ont été les principales frustrations que t’ont valu
l’écriture ?
Ecrire
un roman, càd réussir à développer une trame solide, compréhensible, clair,
logique. Etre évalué sur l’orthographe et la grammaire plutôt que sur le
fond, du coup j’ai appris à maitriser parfaitement la langue.
As-tu un site/blog où l’on peut te lire ou,
à défaut, trouver les titres de tes textes publiés ? Si oui, veux-tu donner son
nom et indiquer par quel texte tu aimerais qu’un visiteur qui ne te connaît pas
lise avant tout autre ? Si tu préfères rester anonyme, merci d'avoir partagé.
Ce
que j'aimerais pouvoir montrer à un visiteur bienveillant n'est pas
(encore)/plus public. Mon pseudo est Stern.
Comment te sens tu quand tu écris ?
L’écriture est-elle une souffrance ou une facilité ? (Didier Austry)
Quand
j'écris, je suis libre, je ne suis plus jugée, je peux être ce que je veux,
vivre ce que je veux, parfois l'écriture est un exutoire, c'est en tout cas
toujours un plaisir sans équivalent.
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